Le Monday 15 April 2002 14:26, tu écrivais :
Il ne faudrait pas avoir besoin de connaître DocBook et le XML pour pouvoir être traducteur ou relecteur. Il faut donc que le coordinateur (ou de préférence un outil assez intelligent) soit capable dans un premier temps de vérifier la structure du document et indiquer si celui-ci est valide pour permettre son enregistrement sur le site.
Une solution intermédiaire serait de permettre au traducteur de pouvoir uploader un document même si sa validation (nsgmls) échoue. En cas d'échec, un volontaire compétent (et non plus uniquement un des coordinateurs) pourra aider le traducteur à corriger la syntaxe.
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On Mon, Apr 15, 2002 at 03:30:15PM +0200, Xavier Antoviaque wrote:
Le Monday 15 April 2002 14:26, tu écrivais :
Il ne faudrait pas avoir besoin de connaître DocBook et le XML pour pouvoir être traducteur ou relecteur. Il faut donc que le coordinateur (ou de préférence un outil assez intelligent) soit capable dans un premier temps de vérifier la structure du document et indiquer si celui-ci est valide pour permettre son enregistrement sur le site.
Une solution intermédiaire serait de permettre au traducteur de pouvoir uploader un document même si sa validation (nsgmls) échoue. En cas d'échec, un volontaire compétent (et non plus uniquement un des coordinateurs) pourra aider le traducteur à corriger la syntaxe.
Enfin appliquer un scripts du type nsgmls est trèsfacile, même pour un débutant. Il suffit uniquement expliquer comment le faire et ça fonctionne.
En revanche, si on applique des règles trop strictes, les traducteurs seront dissuadés par des procédures « administrative ».
Personnellement, je ne crois pas que XML ou DocBook soient des obstacles à la traduction. Il n'y a pas d'apprentissage particulier sinon comprendre le principe d'une balise...
a+
Le Monday 15 April 2002 17:23, tu écrivais :
Enfin appliquer un scripts du type nsgmls est trèsfacile, même pour un débutant. Il suffit uniquement expliquer comment le faire et ça fonctionne.
Ce n'est pas très difficile, mais ça peut parfois effrayer certains.
En revanche, si on applique des règles trop strictes, les traducteurs seront dissuadés par des procédures « administrative ».
Quoi qu'il arrive, il faudra bien intégrer une vérification syntaxique à un moment ou à un autre dans l'interface. Alors plutôt que de retourner une simple erreur, autant prévoir le coup et proposer de l'aide au traducteur.
Mais bon, voyons d'abord ce que l'on peut faire au niveau du LDP...