Le lundi 01 septembre 2008 à 09:23 +0200, Isabelle Hurbain a écrit :
Le Mon, 1 Sep 2008 07:25:57 +0200, Christian Perrier bubulle@debian.org a écrit :
Ce n'est pas un ultimatum: je n'ai pas de contrôle personnel sur ce que veulent faire les contributeurs de debian-l10n-french. Je n'ai que l'expérience acquise en de nombreuses années de participation à cette équipe, qui me fait dire que je serais très surpris si quelqu'un se proposait pour "éditer du *roff à coup de vi" (je suis volontairement négatif).
J'ai pas d'avis sur po4a : je m'en fous, je fais là où on me dit de faire :) Mais faut pas exagérer : éditer du *roff à grands coups de vim (ouais paske vi faut pas déconner quand même) ça se fait très bien et c'est en tous cas vraiment pas la mer à boire.
Isa, contributrice plus qu'occasionnelle, mais pour des raisons de disponibilité perso qui n'ont rien à voir avec le format (en fait le *roff je trouve même ça plutôt rigolo :) )
Bonjour,
Au nom du projet de traduction de GNOME en français, j'aimerais signaler que je soutiens totalement la position de Christian Perrier.
Si la grande majorité des projets de traduction ont choisi un format qui sépare le contenu à traduire de la forme source, c'est notamment pour minimiser le risque d'erreur. Le traducteur doit pouvoir se concentrer au maximum sur le contenu à traduire et non sur le formatage de la syntaxe du format source. L'autre avantage majeur d'un format intermédiaire de traduction, c'est la possibilité d'effectuer le suivi détaillé des modifications, mais je crois que cela a déjà été relevé. Après, que le format de traduction soit po, xliff ou autre, peu importe.
Claude Paroz