Le mardi 04 juin 2019 à 13:46 +0200, Kévin Raymond a écrit :
« Arrêt » peut-être ? Mais je vois un peu plus bas qu'« arrêté » est déjà utilisé pour SIGSTOP. Mais pas « terminaison forcée », le signal SIGQUIT n'est en général pas utilisé pour forcer quoi que ce soit. Peut-être laisser la forme impérative, vu que les sources originales mélangent déjà l'impératif et le participe passé ?…
L'interruption est forcée par SIGQUIT dans le sens puisqu'elle génère un coredump.
Le programme est arrêté *proprement* par le handler qu'il a indiqué, il n'y a aucun « forçage » ; dumper sa mémoire à la fin n'est qu'une mesure pratique qui n'a aucun rapport avec une quelconque obligation d'arrêt.
« Arrêt » est assez vague pour nécessiter de remonter dans la langue d'origine.
Sinon on laisse le nom du signal... Par contre « arrêt » me parait mieux que « sortie » ou « quitte » dans le sens ou c'est une interruption qui demande l'arrêt.
Ça dépend comment on voit la signification « d'arrêt » : à la réflexion, il me semble qu'un arrêt ne signifie pas la terminaison de la chose qu'on arrête ; un arrêt s'effectue avant de continuer sa route…
Néanmoins le « forcé » serait plus propice à l'interprétation du SIGKILL.
Donc on peut garder « arrêt » pour SIGQUIT. SIGSTOP correspondrait plus à « en pause », ou « mise en attente », ou « interrompu » pour garder la cohérence (et interruption pour SIGINT ?)
J'avais tendance à voir interruption comme quelque-chose d’irrattrapable, mais à la réflexion, on peut reprendre son travail après une interruption… La signification étant ici qu'un SIGINT demande l'attention immédiate du processus, plutôt qu'étant lié à au caractère définitif de l'arrêt, je pense.
Du coup je ne sais pas quoi proposer.
C'est… Délicat d'être fidèle à l'idée originale les signaux étant trop précis.
Effectivement.