Le Sunday 14 April 2002 00:15, tu écrivais :
Un même personne peut être traducteur et relecteur. Enregistrer les utilisateurs en séparant ces deux rôles ne me paraît pas indiqué.
Tu as raison. En fait, je l'entendais de cette oreille, mais comme le mail que j'ai envoyé m'a également servi de support de réflexion, j'ai pu laisser échapper quelques incohérences.
Ce n'est valable que pour les traductions des descriptions de paquets Debian (à ma connaissance).
Ok. Mes excuses pour ne pas avoir vérifié de manière suffisament complète.
Les HOWTO (ne faudrait-il pas au passage les renommer les « COMMENT FAIRE » ?)
Ou « Manuels pas à pas » ?
Les fichiers PO ne sont eux pas relu du tout. En tout cas, pas systématiquement, à part par leur traducteur.
C'est un peu dommage, on laisse souvent échapper des coquilles que quelqu'un d'autre verrait immédiatement...
Ce qui revient à savoir comment « noter » les traducteurs (et les relecteurs), ce qui est toujours délicat dans un projet libre.
Non, justement. Il ne s'agit pas de donner des notes, mais simplement d'indiquer si un document donné peut légitimement être diffusé. Ca reste subjectif, mais on ne pourra pas l'éviter de toutes façons...
Le travail du traducteur avec le relecteur devrait en général suffire à assurer une bonne qualité du document. Est-il nécessaire d'institutionnaliser un système de notation ?
Dans le cadre d'une automatisation relativement complète du processus, on va devoir « institutionnaliser » la procédure à un moment ou à un autre, de toutes manières. Car on n'a pas les mêmes inhibitions face à un groupe de personnes réelles (système actuel) que lorsque l'on se retrouve devant un formulaire web.
De plus, le système que j'exposais a un avantage indéniable : il met en valeur le travail effectué par un traducteur/relecteur, en lui donnant de nouvelles responsabilités. C'est mine de rien un facteur important et motivant du volontariat...
- Un système de suivi des bogues, permettant à un utilisateur du document traduit de nous communiquer ses suggestions, et d'en assurer le suivi.
Excellente idée, oui. Pour ça, on pet utiliser des systèmes tels que Bugzilla, qui sont très bien adaptés.
- Un développement plus systématique d'un glossaire comme outil d'*aide* à la traduction. Par exemple, en nommant un responsable chargé d'enregistrer systématiquement le vocabulaire sur lequel les membres du projet auront pu se mettre d'accord. (Je dis outil d'aide, car la traduction d'un terme est toujours dépendante de son contexte).
Oui. Pourquoi ne pas utiliser phpWiki ( http://phpwiki.sourceforge.net/ ) ?
Améliorer la publication des documents paraît la première priorité. C'est là je pense que le besoin d'amélioration se fait le plus sentir.
Première, je ne sais pas, mais c'est effectivement un aspect primordial : ça ne sert à rien de traduire si on n'est pas lu. :-)