Le lundi 01 septembre 2008, Stéphane Blondon a écrit :
Le 1 septembre 2008 00:19, Gilles LAMIRAL gilles.lamiral@laposte.net a
écrit :
Je connais po4a. J'ai failli ajouté à mon premier message qu'il n'était pas nécessaire d'ajouter une couche de lubrifiant sur po4a.
On fait comment exactement? Alain signale le fichier à traduire, le traducteur le récupère le passe à po4a, le traduit, le reconvertit dans l'autre sens pour avoir un fichier avec uniquement la traduction
Personnellement, cela ne me pose aucun problème, du moment où je récupère une page de manuel formatée en troff.
puis fait un diff avec le premier fichier et l'envoie ce diff.
Pas de diff à faire puisque, pour le moment, je ne cherche de l'aide que pour les nouvelles pages.
Moyen comme procédure pour attirer des contributeurs qui regrettent un outil.
Quand Alain demande s'il y a des ressources humaines pour traduire les pages de manuel, vous répondez, en résumé, "passe d'abord à po4a et après on répondra à ta question" tout en sachant que po4a n'est pas sa tasse de thé.
- Ceux qui ont répondu ne veulent plus travailler sans un outil de ce
type. Alain ne veut pas travailler avec un outil de ce type.
2.Les opinions des deux parties n'ont pas changé en deux ans. La situation n'a pas changé en deux ans.
Pas tout à fait... Nicolas et moi-même avions un vrai désir de rapprochement, conscients tous deux de l'ineptie à conduire deux archives en parallèle au moment où s'intensifie brutalement la production de Michael et étant parfaitement lucides que personne ne pourrait suivre le rythme chacun de son coté. Ce travail a effectivement commencé fin juin et le premier message de ce fil de discussion était une étape supplémentaire dans ce travail de rapprochement.
Il semblerait donc que le rapprochement s'éloigne...
- Alain a vraiment besoin d'aide.
J'espère que tu as compris que je ne suis pas le seul.
Qui doit se remettre le plus en cause?
Bah, pas moi, vu que j'ai la plus grosse :-D
[snip]
Vu comme c'est parti, c'est encore foiré pour cette fois,
Peut-être, oui. Et si c'est le cas, ce sera vraiment dommage.
Il n'y a que la première fois que ça fait mal, après, on s'habitue... Heureusement pour moi, je vivrais un échec du rapprochement moins dramatiquement que le fork. Par contre, je n'en proposerai ni n'en accepterai pas d'autre, ni dans deux ans, ni dans cinq ans.
Cordialement, Alain