Le 26 octobre 2010 12:41, Hugo Herbelin a écrit :
En tant qu' « utilisateur » de traductions, je soutiens entièrement cette approche. Juste une question toutefois : comment fait-on pour faire remonter les bogues ? Typiquement, quels sont les projets traduc qui à l'heure actuelle offrent un canal pour permettre aux « utilisateurs » de communiquer avec les traducteurs ?
Hugo Herbelin (lecteur passif de la liste qui se réjouit très vivement du nouveau souffle pris par traduc cette année !)
Bonjour,
Cette liste me semble adaptée à la remontée de erreurs, d'autant que ça nous permet de discuter des erreurs et des corrections.
Oui, il y avait eu un échange sur cette question il y a quelques mois et c'est ce que l'on m'avait suggéré de faire.
Alors d'accord, je m'adresse à la liste...
Un des problèmes de traduction auquel j'ai été confronté en tant qu'utilisateur est celui de la traduction de l'outil make (qui fait donc partie du projet de traduction des logiciels GNU, cf lien http://www.traduc.org/Projet_de_traduction).
[...]
Bonjour,
Je ne comprends pas, vous avez été capable de trouver que le responsable de la traduction avait changé, mais vous ne connaissez pas ses cordonnées pour le contacter directement ? Elles apparaissent sur http://translationproject.org/domain/make.html ainsi qu'au début des fichiers make-*.fr.po accessibles depuis cette page.
Il faut d'abord signaler que, même en anglais, make utilise parfois un vocabulaire assez technique, ce qui ne facilite pas le travail de traduction.
Absolument, d'ailleurs les problèmes que vous soulevez avec ces « timer expired » ne sont pas tant des erreurs de traduction que des imprécisions dans les messages en anglais. L'idéal serait de les corriger, ça simplifierait ensuite la traduction. C'est souvent un traducteur qui signale le problème quand il bute sur une traduction. Vos suggestions semblent pertinentes, il faudrait que vous les envoyez au traducteur, qui, même s'il est censé lire cette liste, peut ne le faire qu'en diagonale et de surcroit filtrer les messages en fonction de leur sujet.
Denis