Bonjour,
Je prépare pour le salon Linux Solutions une affiche Traduc.org. J'ai demandé pour cela, la semaine dernière à Jean-Philippe Guérard de me donner les dix règles ou recommandations à respecter pour faire une bonne traduction.
Voici une première version et il faudrait sans doute l'affiner et le réordonner.
Le principe est simple: une règle, plus une courte définition.
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+ Une traduction doit être licite. Toujours s'assurer, avant de commencer une traduction, que l'on est libre de la réaliser, et de publier la version traduite.
+ Toujours faire remonter l'information. Systématiquement informer l'auteur original des corrections et améliorations réalisées à l'occasion de la traduction, afin qu'il puisse améliorer le document original.
+ Le document traduit doit avant tout être pratique. Une traduction doit être pratique et utile au lecteur, avant d'être fidèle à l'auteur.
+ Une traduction est une adaptation. Une traduction est une adaptation aux besoins d'un lecteur francophone, et doit être traitée comme telle. Par exemple, s'ils existent, il faut remplacer les liens anglais par leurs versions françaises, et éventuellement, inclure des liens vers des ressources françaises complémentaires.
+ Un document traduit doit être clair. Il faut donc veiller à aussi bien à l'exactitude et à la clareté du fond, qu'à celles de la forme et du format.
+ Un glossaire est un faux ami du traducteur. La traduction d'un mot, même s'il existe un équivalent reconnu, dépends *toujours* avant tout de son contexte.
+ Traduire, c'est comprendre. Une bonne traduction consiste d'abord à comprendre, puis à reformuler en français. Si l'on ne comprend pas, il est *impossible* de traduire.
+ Un bon artisan doit disposer de bons outils. Un traducteur doit connaître et maîtriser tous les outils qui peuvent lui simplifier la vie et améliorer la qualité de son travail (correcteur orthographique, outils de validation de format, outils de génération, et cætera).
+ Toujours vérifier le rendu final du document. Le traducteur est responsable du rendu final du document, et pas seulement du texte qu'il contient.
+ On ne voit *jamais* ses propres erreurs. Toujours systématiquement se faire relire par un ou plusieurs relecteurs expérimentés.
Voilà !
Je compte sur vos propositions pour finaliser cette affiche. J'en profite aussi pour remercier Jean-Philippe Guérard de ce premier jet.
Joël
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Bonjour à tous,
je rajouterai un article disant :
+Ne pas chercher à tout traduire. Il n'y a rien de pire que de traduire des termes techniques dont la traduction n'est pas « courrante » ou des technologies qui sont des noms marques. On peut cependant tenter d'éduquer le lecteur. Lorsqu'un terme technique revient de façon récurrente, le traducteur peut, la première fois que ce terme apparaît, préciser entre parenthèses le nom anglais du terme technique.
a+
Bonjour,
- Le document traduit doit avant tout être pratique. Une traduction doit être pratique et utile au lecteur, avant d'être fidèle à l'auteur.
- Le document traduit doit avant tout être pratique. (doublon avec la suite) + Le document traduit doit avant tout être efficace.
- Une traduction est une adaptation. Une traduction est une adaptation aux besoins d'un lecteur francophone, et doit être traitée comme telle. Par exemple, s'ils existent, il faut remplacer les liens
- il faut remplacer les liens + il faut ajouter les liens
- On ne voit *jamais* ses propres erreurs. Toujours systématiquement se faire relire par un ou plusieurs relecteurs expérimentés.
On ne voit *jamais* ses propres erreurs quand on a le nez dans le guidon. Toujours faire relire par un ou plusieurs lecteurs expérimentés et/ou se relire après décantation.
Bonsoir à tous !
Voici une nouvelle version, en essayant d'incorporer les diverses propositions, suggestions et corrections. Merci à Gérard Delafond, Sebastien Tricaud, Frédéric Delanoy, Gilles Lamiral, Pierre Machard pour leurs corrections et suggestions.
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+ Une traduction licite tu feras.
Toujours s'assurer, avant de commencer une traduction, que l'on est libre de la réaliser, et de publier la version traduite.
+ Tel un bon artisan, de bon outils tu chercheras
Un traducteur doit connaître et maîtriser tous les outils qui peuvent lui simplifier la vie et améliorer la qualité de son travail (correcteur orthographique, outils de validation de format, outils de génération, et cætera).
+ Les glossaires, tes meilleurs amis et tes pires ennemis seront.
Les glossaires sont des outils merveilleux pour le traducteur. Ils lui permettent de trouver la traduction adaptée et correcte d'un mot, et sont des outils de partage de l'expérience des traducteurs.
Cependant, ils sont aussi ses pires ennemis, car ils tendent à lui faire oublier que le sens d'un mot, même lorsque ce mot a une traduction reconnue, dépend *toujours* avant tout de son contexte.
+ D'abord comprendre tu devras.
Une bonne traduction consiste d'abord à comprendre, puis à reformuler en français. Si l'on ne comprend pas, il est *impossible* de bien traduire.
Le travail du traducteur consiste donc autant en recherches pour comprendre le sujet du document et les termes employés, qu'en la réalisation de la traduction elle-même.
+ Une traduction utile tu feras.
Le premier but d'une traduction est d'obtenir un document qui rende service au lecteur. Contrairement à une traduction littéraire, on ne cherchera pas absolument à traduire les expression de l'auteur, mais simplement à reformuler clairement ce qu'il explique.
Il est inutile de conserver dans une version françaises les liens morts de la version originale. Il faut soit les mettre à jour, soit les supprimer si ce n'est pas possible.
+ Le document tu adapteras.
Une traduction est une adaptation aux besoins d'un lecteur francophone, et doit être traitée comme telle.
Il faut, par exemple, remplacer les liens anglais par leurs versions françaises si elle existent, et éventuellement, inclure des liens vers des ressources françaises complémentaires.
Les messages d'un programme, ou les captures d'écran doivent être remplacés par les messages ou images équivalentes extraites de la version française du programme.
+ Clair ton document traduit sera.
Il faut donc veiller à aussi bien à l'exactitude et à la clarté du fond, qu'à celles de la forme et du format.
L'orthographe est primordiale. Dans une traduction informatique, l'orthographe est aussi importante que la technique. Des erreurs dans la grammaire, les traits d'union ou les accents gênent considérablement la compréhension. Les outils de correction doivent être systématiquement utilisés.
+ Relire et vérifier ton document traduit tu devras.
Toujours vérifier le rendu final du document. Le traducteur est responsable du rendu final du document, et pas seulement du texte qu'il contient.
De plus, une traduction doit être vérifiée en fonctionnement. Il faut utiliser les programmes traduits et confronter les documentations avec les applicatifs afin d'éviter les contresens.
+ Te faire aider tu devras.
On ne voit *jamais* immédiatement ses propres erreurs. Toujours systématiquement se faire relire par un ou plusieurs relecteurs expérimentés, et relire soi-même son document un peu plus tard..
+ Faire remonter l'information tu devras.
Systématiquement informer l'auteur original des corrections et améliorations réalisées à l'occasion de la traduction, afin qu'il puisse améliorer le document original.
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Bonsoir à tous !
Voici une version revue, tenant compte des suggestions de Bernard Choppy.
Merci encore à Gérard Delafond, Sebastien Tricaud, Frédéric Delanoy, Gilles Lamiral, Pierre Machard, Joëlle Cornavin et Bernard Choppy pour leurs corrections et suggestions.
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+ D'abord comprendre tu devras
Une bonne traduction consiste d'abord à comprendre, puis à reformuler en français. Si l'on ne comprend pas, on traduit mal.
Le travail du traducteur consiste donc autant en recherches pour comprendre le sujet du document et les termes employés, qu'en la réalisation de la traduction elle-même.
+ En harmonie avec l'auteur tu seras
Il est nécessaire, avant de commencer une traduction, de toujours s'assurer que la licence du document original nous laisse libre de le traduire, et de diffuser sa version française.
Même si ce n'est pas obligatoire, il est recommandé d'informer l'auteur de la réalisation d'une traduction.
+ Tel un bon artisan, de bons outils tu chercheras
Un traducteur doit connaître et maîtriser tous les outils qui peuvent lui simplifier la vie et améliorer la qualité de son travail (correcteur orthographique, outils de validation de format, outils de génération, et cætera).
L'utilisation systématique des outils de correction orthographique permet d'améliorer la qualité du document, tout en faisant gagner du temps aux traducteur et relecteurs.
+ Les glossaires, tes pires amis seront
Les glossaires sont des outils merveilleux pour le traducteur. Ils lui permettent de trouver la traduction adaptée et correcte d'un mot, et de partager l'expérience d'autres traducteurs.
Cependant, ce sont aussi ses pires ennemis, car ils tendent à lui faire oublier que le sens d'un mot, même lorsque ce mot a une traduction reconnue, dépend *toujours* avant tout de son contexte.
+ À la fidélité, l'utilité tu préféreras
Le premier but d'une traduction est d'obtenir un document qui rende service au lecteur. Contrairement à une traduction littéraire, on ne cherchera pas à tout prix à traduire les expressions de l'auteur, mais simplement à reformuler clairement ce qu'il explique.
Il est par exemple inutile de conserver dans une version française les liens morts de la version originale. Il faut soit les mettre à jour, soit les supprimer si ce n'est pas possible.
Afin d'éviter les contresens, on se basera dans la mesure du possible sur l'utilisation des programmes décrits pour valider la traduction réalisée.
+ Le document tu adapteras
Une traduction est une adaptation aux besoins d'un lecteur francophone, et doit être traitée comme telle.
Lorsque le document contient des liens vers des pages dont existe une version française, il faut remplacer ces liens par des liens vers celles-ci.
Les captures d'écran, ou les messages d'un programme doivent être remplacés par les images ou messages équivalents tirés de la version française du programme.
+ En bon français tu rédigeras
Autant que l'exactitude technique, l'orthographe est primordiale.
Un document mal orthographié, comportant des erreurs de grammaire, des accents oubliés ou omis sera pénible à lire et difficile à comprendre. Un tel document ne sera finalement utile à personne.
+ L'orthographe, la grammaire et la composition de ton document tu vérifieras
Une fois la traduction terminée, le traducteur doit générer une version finale du document, et la relire complètement, afin de s'assurer qu'il en est pleinement satisfait.
Cette relecture doit porter non seulement sur le contenu du document, mais aussi sur l'orthographe, la grammaire, et la composition du document.
+ À faire relire et corriger ton travail par un pair tu t'attacheras
Nous sommes toujours aveugles à nos erreurs les plus évidentes.
Il faut en conséquence toujours systématiquement se faire relire par un ou plusieurs relecteurs expérimentés, puis relire soi-même le document après avoir laissé décanter les choses.
+ Informer l'auteur tu devras
L'auteur original doit être systématiquement informé des corrections et améliorations réalisées à l'occasion de la traduction, lorsque celles-ci peuvent s'appliquer au document original.
Ainsi, non seulement la traduction aura rendu ce document accessible à un public francophone, mais en plus, elle aura contribué à améliorer le document original.
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Bonne nuit à tous !
Re-bonjour !
Voici une nouvelle version remise à jour !
Merci encore à Gérard Delafond, Sebastien Tricaud, Frédéric Delanoy, Gilles Lamiral, Pierre Machard, Joëlle Cornavin et Bernard Choppy pour leurs corrections et suggestions.
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+ D'abord comprendre tu devras
Une bonne traduction consiste d'abord à comprendre, puis à reformuler en français. Si l'on ne comprend pas, on traduit mal.
Le travail du traducteur consiste donc autant en recherches pour comprendre le sujet du document et les termes employés, qu'en la réalisation de la traduction elle-même.
+ En harmonie avec l'auteur tu seras
Il est nécessaire, avant de commencer une traduction, de toujours s'assurer que la licence du document original nous laisse libres de le traduire, et de diffuser sa version française.
Même si ce n'est pas obligatoire, il est recommandé d'informer l'auteur de la réalisation d'une traduction.
+ Tel un bon artisan, de bons outils tu chercheras
Un traducteur doit connaître et maîtriser tous les outils qui peuvent lui simplifier la vie et améliorer la qualité de son travail (correcteur orthographique, outils de validation de format, outils de génération, et cætera).
L'utilisation systématique des outils de correction orthographique permet d'améliorer la qualité du document, tout en faisant gagner du temps au traducteur et aux relecteurs.
+ Les glossaires, tes pires amis seront
Les glossaires sont des outils merveilleux pour le traducteur. Ils lui permettent de trouver la traduction adaptée et correcte d'un mot, et de partager l'expérience d'autres traducteurs.
Cependant, ce sont aussi ses pires ennemis, car ils tendent à lui faire oublier que le sens d'un mot, même lorsque ce mot a une traduction reconnue, dépend *toujours* avant tout de son contexte.
+ À la fidélité, l'utilité tu préféreras
Le but premier d'une traduction est d'obtenir un document qui rende service au lecteur. Contrairement à une traduction littéraire, on ne cherchera pas à tout prix à traduire les expressions de l'auteur, mais simplement à reformuler clairement ce qu'il explique.
Il est par exemple inutile de conserver dans une version française les liens morts de la version originale. Il faut soit les mettre à jour, soit les supprimer si ce n'est pas possible.
Afin d'éviter les contresens, on se basera dans la mesure du possible sur l'utilisation des programmes décrits pour valider la traduction réalisée.
+ Le document tu adapteras
Une traduction est une adaptation aux besoins d'un lecteur francophone, et doit être traitée comme telle.
Lorsque le document contient des liens vers des pages dont existe une version française, il faut remplacer ces liens par des liens vers celles-ci.
Les captures d'écran, ou les messages d'un programme doivent être remplacés par les images ou messages équivalents tirés de la version française du programme.
+ En bon français tu rédigeras
Autant que l'exactitude technique, l'orthographe est primordiale.
Un document mal orthographié, comportant des erreurs de grammaire, des accents oubliés ou omis sera pénible à lire et difficile à comprendre. Un tel document ne sera finalement utile à personne.
+ L'orthographe, la grammaire et la composition de ton document tu vérifieras
Une fois la traduction terminée, le traducteur doit générer une version finale du document, et la relire complètement, afin de s'assurer qu'il en est pleinement satisfait.
Cette relecture doit porter non seulement sur le contenu du document, mais aussi sur l'orthographe, la grammaire, et la composition du document.
+ À faire relire et corriger ton travail par un pair tu t'attacheras
Nous sommes toujours aveugles à nos erreurs les plus évidentes.
Il faut en conséquence toujours systématiquement se faire relire par un ou plusieurs relecteurs expérimentés, puis relire soi-même le document après avoir laissé décanter les choses.
+ Informer l'auteur tu devras
L'auteur doit être systématiquement informé des corrections et améliorations réalisées à l'occasion de la traduction, lorsque celles-ci peuvent s'appliquer au document original.
Ainsi, non seulement la traduction aura rendu ce document accessible à un public francophone, mais en plus, elle aura contribué à améliorer le document original.
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Merci encore à tous !
Re-bonjour !
Voici une nouvelle nouvelle version remise à jour !
Merci encore à Gérard Delafond, Sebastien Tricaud, Frédéric Delanoy, Gilles Lamiral, Pierre Machard, Joëlle Cornavin et Bernard Choppy pour leurs corrections et suggestions.
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+ D'abord comprendre tu devras
Une bonne traduction consiste d'abord à comprendre, puis à reformuler en français. Si l'on ne comprend pas, on traduit mal.
Le travail du traducteur consiste donc autant en recherches pour comprendre le sujet du document et les termes employés, qu'en la réalisation de la traduction elle-même.
+ En harmonie avec l'auteur tu seras
Il est nécessaire, avant de commencer une traduction, de toujours s'assurer que la licence du document original nous laisse libres de le traduire, et de diffuser sa version française.
Même si ce n'est pas obligatoire, il est recommandé d'informer l'auteur de la réalisation d'une traduction.
+ Tel un bon artisan, de bons outils tu chercheras
Un traducteur doit connaître et maîtriser tous les outils qui peuvent lui simplifier la vie et améliorer la qualité de son travail (correcteur orthographique, outils de validation de format, outils de génération, et cætera).
L'utilisation systématique des outils de correction orthographique permet d'améliorer la qualité du document, tout en faisant gagner du temps au traducteur et aux relecteurs.
+ Les glossaires, tes pires amis seront
Les glossaires sont des outils merveilleux pour le traducteur. Ils lui permettent de trouver la traduction adaptée et correcte d'un mot, et de partager l'expérience d'autres traducteurs.
Cependant, ce sont aussi ses pires ennemis, car ils tendent à lui faire oublier que le sens d'un mot, même lorsque ce mot a une traduction reconnue, dépend *toujours* avant tout de son contexte.
+ À la fidélité, l'utilité tu préféreras
Le but premier d'une traduction est d'obtenir un document qui rende service au lecteur. Contrairement à une traduction littéraire, on ne cherchera pas à tout prix à traduire les expressions de l'auteur, mais simplement à reformuler clairement ce qu'il explique.
Il est par exemple inutile de conserver dans une version française les liens morts de la version originale. Il faut soit les mettre à jour, soit les supprimer si ce n'est pas possible.
Afin d'éviter les contresens, on se basera dans la mesure du possible sur l'utilisation des programmes décrits pour valider la traduction réalisée.
+ Le document tu adapteras
Une traduction est une adaptation aux besoins d'un lecteur francophone, et doit être traitée comme telle.
Lorsque le document contient des liens vers des pages dont existe une version française, il faut remplacer ces liens par des liens vers celles-ci.
Les captures d'écran, ou les messages d'un programme doivent être remplacés par les images ou messages équivalents tirés de la version française du programme.
+ En bon français tu rédigeras
Autant que l'exactitude technique, l'orthographe est primordiale.
Un document mal orthographié, comportant des erreurs de grammaire, des accents oubliés ou omis sera pénible à lire et difficile à comprendre. Un tel document ne sera finalement utile à personne.
+ L'orthographe, la grammaire et la composition de ton document tu vérifieras
Une fois la traduction terminée, le traducteur doit générer une version finale du document, et la relire complètement, afin de s'assurer qu'il en est pleinement satisfait.
Cette relecture doit porter non seulement sur le contenu du document, mais aussi sur l'orthographe, la grammaire, et la composition du document.
+ À faire relire et corriger ton travail par un pair tu t'attacheras
Nous sommes toujours aveugles à nos erreurs les plus évidentes.
Il faut en conséquence systématiquement se faire relire par un ou plusieurs relecteurs expérimentés, puis relire soi-même le document après avoir laissé décanter les choses.
+ Informer l'auteur tu devras
L'auteur doit être systématiquement informé des corrections et améliorations réalisées à l'occasion de la traduction, lorsque celles-ci peuvent s'appliquer au document original.
Ainsi, non seulement la traduction aura rendu ce document accessible à un public francophone, mais en plus, elle aura contribué à améliorer le document original.
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Merci encore à tous !