Bonjour,
Suite au conseil de Bernard Choppy j'ai contacte o'reilly france concernant le linux network administrator guide 2. Apres un long mois d'attente j'ai recus cette reponse de O'reilly. Je vous la soumet pour faire avancer le debat sur doit on traduire ou non le nag2. La reponse semble etre non c'est inutile (puisque la version papier est bien sous FDL). Cependant il n'existe pas de version transparente selon les termes de la FDL. En effet au dela de 100 copies, l'editeur est soumis a la diffusion d'une version transparente (fomat electronique ouvert type "xml"). O'reilly reconait ne pas respecter volontairement la licence du documment. Quelques arguments peu convainquant sont avance, il sous entende qu'il s'agit d'une licence americaine qui ne les concernes pas. Voila je soumet le probleme a la comunaute. Il ne s'agit plus de traduire le nag2 mais de faire respecter sa licence.
Quelle suite donner a ce courrier d'Oreilly france?
Tristan Martin.
Xavier Cazin wrote:
J'ai remarque que les versions anglaise de certains livres sont en lecture en ligne sur le site www.oreilly.com. Pourquoi les traductions en français ne sont pas diffuse en ligne? Tout spécialement les oeuvres sous licence fdl.
Pour l'instant, toute notre chaîne de production est organisée pour la publication sur papier, et passe le plus souvent par des formats propriétaire (FrameMaker). La traduction que nous avons publiée à la fois en ligne et sur papier (Tribune Libre) nous a coûté très cher, bien que nous n'ayons pas payé les traducteurs. "Développement d'applications avec Objective Caml" a été transformé en HTML par les auteurs, et la traduction en anglais (disponible uniquement en ligne pour l'instant) a été prise en charge par des volontaires.
Mais nous essayons de nous adapter à une production multi-support, en adoptant progressivement une orientation XML. Reste que les moulinettes sont encore loin d'être au point. C'est effectivement gênant en ce qui concerne la licence FDL, mais nos collègues américains ne mesurant pas le manque de ressources d'une petite maison d'édition française, nous préférons pour l'instant prendre le risque de ne pas respecter leur licence plutôt que de ne pas les traduire du tout.
Xavier.