Le jeudi 22 février 2007 23:48, vous avez écrit :
Bonsoir,
Le 2007-02-22 09:48:06 +0100, Gérard Delafond écrivait :
Quelques notes de survol
Encore une doc complètement obsolète :-(
C'est peut-être un peu exagéré, même si ce document mériterait d'être un peu plus complet et un peu plus synthétique.
Désolé de ce courrier un peu trollesque. Mon point de vue est que l'informatique, c'est très compliqué, et nécessite beaucoup d'informations pour être efficace. Je pense qu'il est du devoir des documentalistes de mettre à disposition des documentations À JOUR. Que dirait-on d'une voiture moderne livrée avec une notice d'utilisation précisant qu'il faut rôder les soupapes tous les 3000 km et expliquant comment le faire (selon une méthode inadaptée au modèle), qu'il faut lubrifier les culbuteurs tous les 50 km, alors qu'ils le sont automatiquement, etc. ? Nos logiciels doivent être fournis avec des documentations à jour.
En ce qui concerne la traduction, il se pose un véritale problème. En effet, la traduction survenant après la rédaction, il est fréquent que la documentation soit périmée au moment de sa traduction. Que faire dans ces conditions ? -tout laisser tomber = mauvaise solution -bourrer le texte traduit de NdT afin de signifier au lecteur que le document risque d'être inadapté à sa situation -mettre un NdT général en tête du document ("Ce document est hors d'âge. Si les fondements de ce qui y est dit demeurent exacts, la mise en oeuvre des procédures décrites est largement dépassée...") -expertiser le document avant traduction, détecter les choses inexactes ou devenues inexactes, les faire remonter en amont, obtenir une nouvelle version du document, et ne traduire qu'un document valable. (la meilleure méthode, à mon avis, mais lourde à mettre en oeuvre)
Pourquoi ne ferait-on pas, au niveau des équipes de traduction, un comité de lecture qui jugerait de la pertinence de traduire tel ou tel document, et ferait les remarques nécessaires afin d'actualiser les documents périmés ? L'avantage serait que cela servirait à tous.
Rappelez-vous également que, même si vous parvenez à utiliser le gestionnaire de disques, il vous faudra, au minimum, une petite partition FAT pour le partage de fichiers entre Linux et NT, et ceci sera vrai tant que Linux ne possédera pas de système de fichier NTFS =>obsolète : ntfs 3g est maintenant en version stable.
Depuis hier (2007-02-21), pour être exact.
;-) Certes, mais le produit est largement utilisable depuis au moins 6 mois. Et la conséquence de ce produit est qu'il inverse complètement une proposition : il devient inutile de prévoir une partition fat sur une machine en dual-boot.
=>rien sur les outils graphiques de partitionnement (qtparted, diskdrake, etc.) : cette documentation est un hymne à l'utilitaire non libre Partition Magic =>rien sur les distributions qui gèrent tout ça automatiquement
il semble que le programme d'installation de Linux crée une partition étendue dès qu'il rencontre une partition principale sur un disque =>??? dépend de l'installateur
Oui, je pense.
J'en suis même plus que certain. Certaines distribution permettent de choisir si l'on veut créer des partitions primaires ou logiques.
A+