Le Wed, 12 Mar 2003 19:47:41 +0100 Jérémy JUST jeremy_just@netcourrier.com a écrit :
On Wed, 12 Mar 2003 19:29:59 +0100 Frédéric Delanoy bn304001@belgacom.net wrote:
si on utilise un éditeur externe comme 'vi' par exemple
Il doit y avoir une méthode d'entrée sous vi j'imagine... (Il y a toujours gvim au cas où...)
Je voudrais pas dévier encore du sujet, mais il y a surtout GNU Emacs et XEmacs. Troll? Moi?
Bien sûr, mais on ne va pas lancer une guerre de religion vi vs emacs (qui devrait avoir lieu dans fr.comp.discussions.stériles.flamewar) De toute façon, emacs est génial, enfin c'est mon avis et je le partage.
PS: Par contre, j'ai un grave problème de ponctuation avec les guillemets. Ils sont normalement suivis (ou précédés, suivant leur sens) d'une espace fine insécable.
Faux. Il s'agit d'une espace large insécable.
Ah. À vrai dire, je n'ai pas trouvé d'indication explicite dans le livre précédemment cité. Mais dans sa mise en page, j'ai très clairement l'impression que quand ils écrivent:
Pourquoi avez-vous crié « Au secours »? (page 50)
l'espace précédant le «, est plus large que celle suivant.
À la page 149, il est dit
espace justifiante « espace mots insécable espce mots insécable » espace justifiante.
Le fait que l'espace est justifiante « justifie » une largeur variable de cette espace.
[...]
Pour les messages électroniques, on peut toujours contrôler la « mise en page ».
C'est vrai. Disons que je préfère pouvoir taper mon texte tel que je le pense (c'est à dire avec juste les caractères qu'il faut dans l'ordre qu'il faut) plutôt que tel que je veux qu'il s'affiche (par exemple en insérant manuellement les sauts de ligne...).
De toute façon, la beauté n'est pas le critère numéro un. Tant qu'on comprend...
C'est vrai dans la limite du raisonnable. Le problème est que le même argument est utilisé par tous ceux qui ne mettent pas d'accents dans leur correspondance. « Du moment qu'on comprend »... Voire par ceux qui n'écrivent pas les voyelles, ni la fin des mots (ne riez pas, chez certaines personnes, c'est systématique parce que « du moment qu'on comprend »...).
Je n'irai pas jusque là. Je voulais simplement dire qu'il faut accorder moins d'importance à la forme qu'au fond dans les courriels. P.ex., le fait d'utiliser des "chiures de mouches" au lieu de « guillemets français » ne nuit pas à la lecture.
Par contre, la non-utilisation de voyelles accentuées (ou de voyelles tout court) ou la sur-utilisation d'abréviations personnalisées peuvent devenir particulièrement gênantes, et nuire à la lisibilité...