On Wed, 12 Mar 2003 19:29:59 +0100 Frédéric Delanoy bn304001@belgacom.net wrote:
Lexique des règles typographiques en usage à l'Imprimerie nationale >
Tu peut préciser l'emplacement s.t.p. ?
Au paragraphe concernant les citations, page 51 (dans l'édition 2002).
si on utilise un éditeur externe comme 'vi' par exemple
Il doit y avoir une méthode d'entrée sous vi j'imagine... (Il y a toujours gvim au cas où...)
Je voudrais pas dévier encore du sujet, mais il y a surtout GNU Emacs et XEmacs. Troll? Moi?
PS: Par contre, j'ai un grave problème de ponctuation avec les guillemets. Ils sont normalement suivis (ou précédés, suivant leur sens) d'une espace fine insécable.
Faux. Il s'agit d'une espace large insécable.
Ah. À vrai dire, je n'ai pas trouvé d'indication explicite dans le livre précédemment cité. Mais dans sa mise en page, j'ai très clairement l'impression que quand ils écrivent:
Pourquoi avez-vous crié « Au secours »? (page 50)
l'espace précédant le «, est plus large que celle suivant.
Or il n'existe pas d'espace fine insécable dans les encodages standards utilisés en messagerie électronique.
Thomas Nemeth m'a proposé en privé une solution qui a l'air de fonctionner convenablement:
keycode 65 = space space nobreakspace
que j'ai utilisé sous la forme:
xmodmap -e "keysym space = space nobreakspace"
L'espace insécable s'affiche et réagit correctement chez moi. Il ne me reste plus qu'à envoyer un mail vers d'autres systèmes d'exploitations pour tester. Tenez, pour tester, j'en mets après/avant les guillemets dans la phrase suivante:
Pourquoi avez-vous crié « Au secours »?
Si jamais vous voyez surgir des symboles ésotériques, dites-le moi en privé.
Pour les messages électroniques, on peut toujours contrôler la « mise en page ».
C'est vrai. Disons que je préfère pouvoir taper mon texte tel que je le pense (c'est à dire avec juste les caractères qu'il faut dans l'ordre qu'il faut) plutôt que tel que je veux qu'il s'affiche (par exemple en insérant manuellement les sauts de ligne...).
De toute façon, la beauté n'est pas le critère numéro un. Tant qu'on comprend...
C'est vrai dans la limite du raisonnable. Le problème est que le même argument est utilisé par tous ceux qui ne mettent pas d'accents dans leur correspondance. « Du moment qu'on comprend »... Voire par ceux qui n'écrivent pas les voyelles, ni la fin des mots (ne riez pas, chez certaines personnes, c'est systématique parce que « du moment qu'on comprend »...).