Le 25/02/2017 à 23:22, Jean-Baptiste Holcroft a écrit :
Le 25 février 2017 22:38:31 UTC+01:00, "Stéphane Aulery" lkppo@free.fr a écrit :
Bienvenu. C’est du bénévolat, donc le temps qui vous fait plaisir.
J’ai appris par le biais de Traduc.org et Translation Project :
C'est une belle formule ! Le temps qui fait plaisir <3
N’est-pas !
Le translation project me semble très austère (interface) au point que je me posait la question si le contenu était à jour des pratiques réelles des projets.
Ça l’était encore davantage. En 2015 j’ai un peu dépoussiérer avec l’aide de Benno Schulenberg, le mainteneur. C’est un projet pionnier, peu mais toujours actif, hébergé par une université. Effectivement l’interface est austère mais c’est parce que la plateforme est gérée par un robot de soumission des contributions et c’est presque zéro maintenance. Depuis un moment je me dis que je reproduirais bien le concept pour héberger des traductions de projets sans lien avec la FSF et une interface internationalisée.
J'ai envoyé un message à l'adresse de contact un jour pour savoir si c'était toujours actif et s'il avaient quelques recommandations générales pour les développeurs (genre : pas de découpe des mots, le contexte, gettext, etc.). J'ai eu une réponse sèche et un lien vers la monstrueuse documentation gettext...
Je ne sais pas bien quoi dire, lui non plus peut-être ?
Il faudra qu'on écrive un article pour expliquer comment ça marche et les points forts/points faibles. Ma première expérience était peut-être une simple malchance.
Avez-vous lu les docs en ligne du TP, elles sont bien faites.
J'encourage aussi les projets à utiliser des plateformes de traduction, sur weblate qui a ma préférence actuellement, car les notifications c'est génial pour suivre l'actualité d'un ou plusieurs projets (po4a l'écrit très bien dans sa documentation, l'enjeu c'est pas tant traduire que maintenir). Pootle a l'air intéressant aussi, mais il n'y a pas de plateforme d'hébergement gratuite pour les projets libres. Transifex est acceptable aussi si le porteur du projet l'a décidé (on n'a pas tous les mêmes sensibilités).
Weblate, Trasifex. Le problème c’est que petit à petit ça s’achemine, à mon sens, vers une capture financière des projets.
Sur le TP il suffit de s’abonner à la liste de diffusion de l’équipe de traduction de sa langue de contribution et on est notifié de toutes les nouveautés que ce soit un travail fait ou à faire. C’est le TP la vrai plateforme gratuite du LL mais elle n’a pas de traction parce qu’il y a zéro communication avec l’extérieur, pas d’internationalisation de l’interface, une forte teinture GNU/FSF, pas d’interface user-frendly pour traduire en ligne (mais c’est intentionnel pour choisir son logiciel).