Bonjour Peko,
En fait, je ne suis pas certain d'avoir bien compris les raisons de cette réticence à m'accepter comme bénévole. J'ai l'impression que c'est moins une question de réglement administratif qu'une volonté de "valoriser" mon implication et, de ce fait, je pense que les directions estiment que la DRH peut faire l'effort de trouver une solution pour que je sois rémunéré. Je crois qu'ils ont aussi d'autres cas identiques au mien, mais sur des volumes horaires beaucoup plus lourds qui ne pourraient pas être pris en charge sur la base du bénévolat. Ils auraient donc besoin de trouver une solution pas que pour moi. Quoiqu'il en soit, s'ils ne trouvent pas la solution, IMO ils ne refuseront pas mon engagement bénévole. C'est pourquoi je n'attends pas cette solution pour démarrer le projet dès ce semestre.
BRGDS ;-)
Yvon.
Le Mardi 3 Septembre 2013 18:14 CEST, Peko papa.papa.echo@gmail.com a écrit:
Bonjour Yvon,
Quand je parlais le 29 mai de KISS à appliquer à ce projet, en dehors de l'occupation de la bande passante, (j'ai les oreilles trop sensibles ;-) ) c'était aussi parce que je ne voyais pas en quoi l'INSA - ou n'importe qui
- pouvait vous obliger à être rémunéré, si vous vouliez réellement agir
bénévolement. Votre phrase était "j'ai proposé de travailler bénévolement via l'association traduc.org, mais il semble que l'INSA préfère que je sois rémunéré" (phrase qui m'a fait réagir).
Je pense qu'en insistant suffisamment, personne ne peut vous obliger à agir non-bénévolement - comme l'unanimité absolue des membres de traduc.org agit bénévolement, semble-t-il (CMIIAW).
Cependant, IANAL & je n'ai peut-être pas pris connaissance de toutes les raisons contraignantes et incontournables qui nous obligeraient à ne pas faire du bénévolat, et je vais peut-être les apprendre par votre intermédiaire.
--P