Le 2006-08-26 14:55:46 +0200, Thomas Huriaux écrivait :
Jean-Philippe Guérard jean-philippe.guerard@tigreraye.org (26/08/2006):
Le 2006-08-26 20:26:14 +0900, Jean-Christophe Helary écrivait :
On 26 août 06, at 19:42, Jean-Philippe Guérard wrote:
Un système de suivi gérant les mises à jour accompagné d'une utilisation astucieuse de diff peut sans doute faire aussi bien.
Une utilisation des fichiers bilingues déjà disponibles parce que créés lors du passage par PO est encore plus astucieuse parce que prévue pour fonctionner comme ça.
Désolé, je n'ai pas été très clair. Tout ce que j'ai dit, c'est que le problème n'est pas ou non d'utiliser un fichier .po, le problème est le fait que beaucoup de projets de traduction ne gèrent pas la mise à jour des documents traduits.
Nous sommes donc d'accord sur la problématique.
L'utilisation de fichiers .po est une solution technique efficace à ce problème, même si elle n'est pas parfaite, mais ce n'est pas la seule.
Ce n'est pas la seule implémentable. Par contre, si on se limite à ce qui existe pour le moment ou qui est en cours de développement, quelles sont ces autres solutions dont tu parles ?
Re-situont le problème. Nous parlions du fait qu'il existe beaucoup de pages de manuels non mises à jour. Je faisais juste remarquer que le problème n'est pas l'outil utilisé pour réaliser les traductions, mais l'organisation des projets qui ne prennent pas forcément en compte le besoin de mise à jour des traductions.
Des projets comme le Projet de traduction des pages de manuel du LDP (géré par Alain Portal) ou le Projet de traduction des logiciels GNU marchent bien à ce niveau là. Le premier, parce que le responsable du projet gère à la main, mais efficacement, les mises à jour, le second, car il utilise une interface automatisée facilitant les échanges entre les auteurs et les traducteurs.
Bon week-end.