Le Vendredi 02 Septembre 2005 08:58, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Le 02/09/05, Gérard Delafondgerard@delafond.org a écrit :
Le Vendredi 2 Septembre 2005 08:22, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Je n'y vois pas d'inconvénient... simplement, il est plus difficile de se mettre d'accord quand on est très nombreux :)
L'idée du glossaire n'est pas de se mettre d'accord, mais de proposer des solutions et d'expliquer des choix.
Je suis moyennement d'accord avec cela...
Si l'on fait un glossaire, c'est bien pour se mettre d'accord sur un ou des termes et les utiliser, non ?
Sinon, cela ne sert à rien qu'à avoir une référence de plus dans les liens de FAQ des équipes de traduction francophone...
Théoriquement, tu as raison. Mais, en pratique, certains mots, pour ne pas dire tous, ont une traduction dépendant fortement du contexte (original et traduit). Lors de la première réunion sur ce sujet, il a été décidé que toutes les traductions valables d'un mot devaient être acceptées. Évidemment, il faut y ajouter le contexte dans lequel on emploie une traduction plutôt qu'une autre. L'exemple pris par Gérard pour « patch » est tout à fait exact.
Il me semble que, pour que ce glossaire soit acceptable par tous, cette décision doit être conservée.
Que "fork" veuille dire bifurcation, dédoublement, fourche ou ce que vous voulez d'autre, peu importe.
L'idée est que toutes ces solutions soient faciles à trouver dans un endroit centralisé, et que ces solutions soient commentées.
Même si certains trouvent très bien de traduire "patch" par "rustine", je préfère utiliser "correctif", "additif" ou "modificatif", qui me semblent moins folkloriques et plus descriptifs. Ça m'ennuierait qu'on m'impose un choix, mais je suis très content d'avoir accès facilement à l'état actuel du débat.
Dans ce cas, ce n'est pas un glossaire mais une centralisation de l'ensemble des traductions adoptées avec le pipo qui va autours...
Quel pipo ??
Ce n'est pas péjoratif :)
Mon but, c'est de vraiment centraliser le vocabulaire utilisé... que l'on arrête de voir
- des erreurs très basiques de traductions (angliscisme « primaire »,
faux-amis, etc.) 2) un vocabulaire homogène
Homogène ne veut pas dire identique. Donc, plusieurs propositions de traduction sont acceptables.
Pour le premier point, il s'agit du travail élémentaire de traduction... il est fait correctement pour peu que le traducteur ait un peu de bouteille... les nouveaus sont plus « à cadrer ».
Pour le second point, c'est très difficile à faire de façon transversale... Chaque équipe doit (ou a dû) mettre en place un glossaire de base qui fait référence, de façon à rendre homogène les traductions. Si une traduction n'est pas homogène, ce n'est pas une traduction !
Les gens hurlent (enfin, entendre les techniciens...) assez contre les traducteurs pour que l'on ne leur file pas en plus des verges pour nous faire battre :)
Reste à savoir pourquoi ils hurlent... je ne suis pas sûr que cela soit dû (principalement) à des traductions non homogènes. Moi, ce qui m'énerve le plus dans les traductions, ce sont les erreurs de fond... un traducteur qui n'a pas compris le texte qu'il traduisait. L'autre erreur que j'ai dû mal à supporter (mais que j'ai tendance à reproduire malheureusement), c'est une traduction mot à mot.
Faire un glossaire de base pour toutes les équipes francophones me paraît difficile à cause des différents historiques... Par contre, si on fait assez rapidement un travail productif, on peut demander à chacune des équipes francophones de faire le nettoyage voulu pour tout mettre au carré...
Pas besoin de nettoyage si on accepte différentes traductions pour un mot.
Par contre, si personne n'est d'accord...
J'avoue que j'aimerai l'avis des autres équipes (autre que Gérard)... Est-ce que tout le monde est prêt à sauter le pas ?
Tu as mon avis. Un mot a plusieurs traductions possibles, elles doivent apparaître dans le glossaire. Vous êtes les bienvenus pour nous aider à améliorer le glossaire :)
PS : il ne s'agit pas de tout faire dans la précipitation... il s'agit d'être d'accord sur la forme... le comment/quoi/où pourra toujours se discuter ultérieurement.